Infiltration

Yuïo avait suivit les ordres de zoltan, et, de nuit, dans un accouttrement des plus sombre et un masque d’animal sur le haut de la tete il avait pénétré dans la citée. Il portait un materiel léger reparti dans es petites poches de sa ceinture ou dans son kimono comportant, la carte, ses katana,, et divers dagues de lancé, de petits explosifs, plus deux ou trois fiches vierges. Il avait passé une porte noire et cherché une bouche d’égout.
C’est en courant dans ce couloir puants qu’il avait atteint le secteur millitarisé de zareha.
Puis il sortit des egouts en s’essuyant. Puis avec discrétion il s’etait approché des entrées en esquivant des gardes.

Tout ca il savais le faire sans problemes. Mais le plus dur c’etait de retenir d’une part ses pouvoirs mais aussi sa haine de tous ces gens possédants des pouvoirs magiques.
Enfin il arriva devant la porte, il ecouta, le corridor était bondé, pas facil de rentrer, il valait mieux utiliser ses ailes, donc il s’envola avec ses grandes ailes lumineuses sombres.

Il découpa avec une dague un cercle de verre dans une fenetre et passa sa main pour l’ouvrir et entra.

*Bon ça devrait être tout en haut.*

Il monta donc mais cette fois il sorti un katana, le plus petit et monta, heureusement personne n’entrava son chemin, jusqu'à une grande porte où deux gardes se postaient.
Il s’approcha discretement d’eux avant de bondir et leur couper la tete en deux coups nets, ils tomberent au sol libérant l’accès et laissant yuio ouvrir la porte marquée du sceau

« BUREAU DU GÉNÉRAL FLAMBOYANTE »

Un magnifique bureau dans lequel il rentra et commença à fouiller mais il ne trouvais que des paperasse inutiles soudain, il n’en crut pas ses yeux, Un billet adréssé à « Ma pupille » signée « Carmine »
Il nota sa conclusion et prit biensur la carte comme preuve. Cette fille devait etre adepte de la magie rouge…

Mais soudain Yuïo ferma tout, rabattit le masque et se cacha derriere un rideau son sabre prêt à frapper: on venait !

La soldate s'était attardée aux refectoire, avec ses soldats non affectés à la garde. Elle avait compris depuis longtemps que, pour se faire accepter par des hommes, elle devait se montrer ferme, mais aussi à l'aise avec eux. Ils l'intégraient d'autant plus si elle savait les écouter, plus encore que si elle se contentait de les écraser par ses talents aux armes. Ils ne la considéraient ainsi pas en rivale, mais en chef que tous respectaient, malgré sa rescente promotion.

Mais même si plaisanter avec ses hommes était agréable, elle avait d'autres choses à faire, et pris congé d'eux à une heure avancée de la nuit, envoyant certains relayer les gardes. Elle monta donc vers son bureau, étirant légèrement ses membres endoloris. Elle laissa s'échapper ses cheveux pour plus de confort, et retint un éternuement lorsqu'une mèche vint lui chatouiller le visage. Secouant la tête, elle continuait son chemin, lorsqu'elle s'arrêta net.

Sans un bruit, elle tira son épée, et s'approcha à pas de loup des deux corps sans vie effondrés devant la porte de son bureau. Elle se pencha doucement vers les têtes qui avaient roulées un peu plus loin, et dont le visage n'exprimait que la stupeur. Sans aucune expression, Zoroa leur ferma doucement les yeux, récupéra un sabre qu'elle glissa dans son foureau, et, l'épée à la main, pénétra doucement par la porte légèrment entrouverte.

Que pouvait-on bien rechercher chez elle ? Elle ne possédait ni document important, ni bien précieux. La personne qui était entrée là devait la chercher, elle. Tous les sens en alerte, elle ralentit son souffle et les batements de son coeur pour se calmer, et s'avança doucement. Dans la semi-pénombre, la pièce semblait parfaitement déserte. Rien ne semblait avoir bougé, ni même été déplacé. La fenêtre était fermée. Intriguée, mais ne relachant pas sa garde, elle s'approcha du bureau, où elle avait finalement remarqué un tiroir légèrement entrouvert. Elle tendit la main vers celui-ci ...

Yuïo observa Zoroa depuis sa cachette, elle savais sans doute qu'il était encore là, il ne lui retsait que deux options, la combattre ou du moins essayer de recuperer des informations ou sortir par la fenetre, ce qi ne serai pas un probleme au vu de la paire d'aile qu'il possèdait.

Obséder par sa colère et aussi par la curiosité que lui inspire un meneur de troupe de tout juste 18 ans, il décida de se mettre à découvert en gardant son masque.
Pour plus de suretée, il sortit doucement en retenant ses pouvoir, et allat à pas de loup fermer la porte du bureaux. Le loquet fit un bruit métallique que la jeune femme avait dut entendre.

Il se retourna vivement et son premier reflexe fut de relacher ses pouvoir pour ne pas etre brulé.

Il tendit la pointe de son petit sabre vers la commandante.

"Commandante Flamboyante? Enchanté, vous m'excuserez bien si je ne puis me presenter moi-meme." Dit il en faisant une reverence.

Derriere son masque il sourit.

"Biensur vous vous doutez que face à moi vos pouvoirs seront inutiles, rassurez vous, je ne suis pas venu pour vous tuer... Pas encore."

Il se déplaca dans le bureaux comme s'il était un invité, un ami de la jeune fille. de droite à gauche, regardant un peu les divers objets.

"Comment en etes vous arrivé à se poste? vous etes si jeune..."

... et se mit à fouiller dans le meuble, lorsque le bruit du loquet retentit. Son sang ne fit qu'un tour, elle se retourna, et projeta ses bras en avant, envoyant un torrent de flammes en direction de la porte. Elle contempla, ébahie, le feu s'annihiler à l'aproche de l'homme. Un Sangwal ... Une bouffée de colère envers cette race monta en elle, et elle brandit son épée, menaçante. Derrière le masque de l'homme, la voix retentit. Son ton railleur la fit bouillir, mais elle s'efforça de rester calme.

- En effet c'est moi. Je suppose donc que c'est vous qui avez assassiné mes deux soldats ?

Son ton montait, elle ne pouvait s'en empêcher, sa haine contre les Sangwals menaçait de brouiller sa raison. Elle ralentit à nouveau les battement de son coeur pour se calmer, et éviter de laisser jaillir son énergie dans une attaque parfaitement inutile contre le pouvoir sangwal. Parfaitement immobile, elle suivait des yeux l'homme qui déambulait sans craintes dans la pièce. fallait-il qu'il la méprise vraiment pour ne pas redouter une attaque ! Mais elle choisit de jouer son jeu, et de répondre à ses questions.

- Comment j'en suis arrivée là ? Vous pensez donc vous aussi qu'une femme n'est pas digne d'atteindre se rang ?

Elle éclata d'un rire qui sonnait faux.

- Et bien, j'ai obtenu ce poste grâce à ceci (elle pointa son épée sur lui), et ceci (de sa main libre, elle fit jaillir une flamme au dessus d'elle. Elle ne put réprimer en frisson en constatant qu'elle n'arrivait pas à la pousser àsa pleine puissance ). Mais ce derier point étant, comme vous me l'avez inutilement fait remarquer, inutile face à vous, je compte utiliser la première solution ...

Et sans plus attendre, elle fondit sur lui, fendant l'air de son épée ...

Yuïo se mit en tension, ce combat allait sans aucun doute lui plaire. Dans son esprit, il comfirma que sa puissance etait rouge en voyant des flammes foncer sur lui et s'ecarter d'elles meme. et sourit en pensant que ce puvoir serait inutil.

*Il n'y a rien que je hait plus que la magie rouge.*

Biensur qu'il avait tué les gardes s'etait necessaire mais aussi un plaisir pour lui que de supprimer les monstres de zareha un à un.

"Si c'etait moi? Que feriez vous?"

La réponse ne se fit pas attendre. Il se déplacea très vite en repoussant la lame de la jeune femme. "Une femme non..." Et il envoya sa propre attaque qui ricocha contre l'armure de la jeune femme."Une gamine oui."

L'échange risquait de durer un long moment, dés qu'il saurait assez sur elle il disparaitrait.

"C'est une heure indue pour revenir à son bureau...Vous faisiez la fete je suppose, avec vos troupes?"

Yuïo recula un instant, pour mettre de la distance et observer le Bureau...Parfait il savais maintenant comment il sortirai de la piece et quoi faire. Seul problème, ses ailes, elles étaient trop reconnaissable, tant pis il ne les utiliserai pas.

Quelques coups furent échangés sans qu'ils ne donnent rien de chaque côté. L'armure de la soldate la protégeait efficacement, et le Sangwals se mouvait avec une grand rapidité, malgré son corps plutôt musclé. Zoroa aurait pu en temps normal être gênée par ses ailes, si elle n'avait pas décidé depuis longtemps de ne les utiliser qu'en cas d'urgence. Si bien que de nombreuses personnes étaient persuadée qu'elle n'était qu'une humaine comme tant d'autre. Mais elles pourraient s'avérer utiles en combat ...

Zoroa ricana à la face de l'étrange homme aillé, sans lui donner le plaisir de répondre directement :

- C'est une heure indue pour sortir la nuit ... Vous faisiez carnaval je suppose, avec votre masque ?

Elle se mit à tourner autour de lui, telle le prédateur autour de sa proie. Elle n'était pas plus prédateur que lui victime, mais cette tactique toute animale permettait en quelque sorte de bloquer l'adversaire. Dans un chuintement de fer, elle sortit de son fourreau le sabre qu'elle avait récupéré sur la dépouille du garde. Une arme dans chaque main, elle le harangua :

- Dites-moi cher ami, avez-vous l'intention de rester longtemps ? Si ce n'est pas le cas, j'aurais le grand honneur de vous reconduire là où vous devez aller ... aux enfers !

Elle escalada d'un bond le burreau, prit son apui, et sauta au dessus du Sangwal les deux lames croisées, avec la ferme intention de les lui enfoncer dns le coeur dès son aterrissage ...

[euh en tant normal les ailes de Yuïo ne sont pas visibles.]

Le carnaval? Quel idiote! Yuïo commencait à etre agacé par cette femme, le combat s'eternisait vraiment trop, il devait sortir est vite, sinon sont style serait reconnaissable à leur prochaine rencontre.

"Très bien, je ne vais donc pas me retenir et sortir ma véritable arme."

Yuïo passa le petit katana dans sa main gauche et le rangea alors que Zoroa courait vers son meuble pour sauter dessus. Il porta sa main droite au katana moyen dans son dos et le tira lentement, le bruit métallique continu se faisait entendre. Alors que zoroa s'appretait à le trancher, une fumée bleu nuit d'ne etrange épaisseur se répandit dans la piece.
"Ce fut divertissant, à bientot très chere."Le katana n'etait qu'une feinte pour detourner l'attention de la femme de la main gauche de l'elfe qui prenait la bombe fumigène. Dans ce brouillard impenetrable, le son du verre cassé se fit entendre.

Yuïo avait fait ressortir ses ailes et s'était envolé sur le toit. Une fois posé son regard parcourut la vaste étendue, malheureusement, des accés aux toit se trouvaient partout, l'alerte allait etre donné!

Il put pieger certaine issues avec ses explosifs, mais pas toutes, il sortit ses deux katana aux cas où... Et courrut vers le bord du toit opposé à celui d'où il venait, pret à s'envoler mais...

[ hj : j'ai corrigé]

Zoroa reçut en plein visage les fummées bleus, et fut désarsonnée. Elle ne parvint pas à atteindre l'homme, et roula à terre, jambes serrées. A demi étouffée par le fumigène, elle tenta de se relever en vacillant, tandis qu'elle apercevait vaguement le Sangwal briser une vitre et s'enfuir. Titubante, et hoquetant, la soldate se saisit de son arc qui reposait là accroché au mur, et se précipita vers la fenêtre. Mais les fummées remplissaient toutes la pièce, et elle eut du mal à viser. Sa flèche se perdit dans le lointain, sans qu'elle vit si elle avait atteind son but.

Elle se précipita alors en dehors de son bureau, et se mit à hurler dans le couloir, tout en agitant une sorte de cloche.

- ALERTE, UN SANGWAL DANS LA VILLE ! RAMENEZ-LE IMMEDIATEMENT ! ALERTE !

Des bruits de course se firent entendre pus bas, mais elle n'écoutait déjà plus. Elle était à nouveau dans le bureau, et se posta à la fenêtre. Elle défit une petite cape qu'elle portait toujours dans le haut du dos, et qui masquait deux fentes dans l'armure. Ses deux points faible dans cette carapace de métal n'étaient en fait que des orifices permettant à ses ailes de sortir. Elle les déploya, fébrile, et s'élança dans le froid mordant. Elle qui refusait si souvent de les utiliser par refus de ses acsendance fées avait maintenant une priorité encore plus grande : tuer ce Sangwal. Elle serait prête à tout pour ça.

Elle le repéra. Occupé à disposer des explosifs, il s'était vivement relevé pour courir vers le bord du toit, et déployer ses ailes. Zoroa arma son arc, visa rapidement, et tira. C'était une tireuse d'élite, elle préférait même cette arme à l'épée, et avait peu de chances de le manquer. Il faudrait beaucoup de rapidité à l'homme pour se protéger du trait mortel ...

[ hj : on peut continuer une course poursuite dans les rues ou à l'extérieure par la suite, quand dis-tu ? Sauf si tu t'échappes trop vite et que tu n'es absolument pas blessé ...]

Tziiiiim Le bruit d'une flèche, Yuïo se tourna d'un quart et là, une douleur lui transperca l'epaule, incroyable, il était touché. Un filet de sang coulait de son épaule gauche, il serra les dents et rangea son petit katana desormais inutile son genoux toucha seul le sol. Cet instant dura une eternité, que faire maintenant, ce n'etait pas ce qu'il avait prévu!

Sa reflexion fut interrompu par un tout petit bruit tap tap tap tap, des bruits de pas! Il sourit sous son masque...

"Dis moi...Tu comptes m'avoir ce soir, alors dépche toi...Tu vas en avoir des paupiere a clore avant...enfin s'il reste des yeux..héhé 5 4 3 2 1....."

BAOUM!!!

Une terrible explosion déclengée par l'arrivé des troupes près des pieges, Yuïo se laissa tomber en arriere, sa chute dura un instant puis il sortit ses ailes et passa dans des ruelles pour cacher sa trace, il ne se rendait pas compte qu'il serait suivit, et que des gouttes de sang tombaient régulierement.

Il parvint à survoler les remparts et s'enfuit dans la nuit.

[SUITE AU VILLAGE PHANTOME]

» Traqué (suite de infiltration)